Ariel Zeitoun : biographie
Ariel Zeitoun est un réalisateur, scénariste, producteur, producteur délégué français. Il est né le 26 septembre 1945 à Tunis (Tunisie). Il a produit une dizaine de films. Les plus connus sont Yamakasi, avec la coopération de Luc Besson et Le Dernier Gang. Voici la biographie d'Ariel Zeitoun.
Son enfance
Ariel Zeitoun est né en Tunis, mais il arrive en France lorsqu’il est encore assez jeune. Il est très attiré par l’art du cinéma. Ainsi, il fait plusieurs stages, puis il devient assistant et finalement Ariel choisit la production.
Premiers pas
Sa carrière professionnelle commence en 1979, en tant que producteur, avec les deux films : Rien ne vas plus (un film de Jean-Michel Ribes) et L’école est fini (Olivier Nolin). Il supervise leur développement tout au long du travail. Ces projets sont réalisés par le biais de ses sociétés Partner’s Production et après Ajos Films. L’année suivante, c’est le film La banquière de Francis Girod. C’est à partir des années 90 qu’il commence à s’investir dans la mise en scène. Il collabore avec : - Michel Boujenah (acteur et humoriste français, d’origine tunisienne). - Ariel Zeitoun travaille sur plusieurs comédies, par exemple Le Nombril du monde (1993), Une femme très très très amoureuse (1997), Bimboland (1998). Ayant une préférence pour ce genre de films, il n’oublie pas les autres registres. Ainsi, en 2001, c’est le film Yamakasi qui sort. Ce film marque sa première collaboration avec EuropaCorp, la société de production de Luc Besson. 6 ans plus tard, c’est la sortie du film Le dernier Gang, inspiré par les péripéties du Gang des Postiches. Ariel Zeitoun est le réalisateur du film sorti en 2010 sous le nom de "Ce n'est pas Végas.
Le film Dernier Gang
Ariel Zeitoun a toujours aimé le polar, c’est l’univers dans lequel il se sent mieux. Il aime tous les points du film noir : tournage, ambiance, relation entre les personnages et la scénographie. Le travail sur Le Denier Gang commence en 2003. À cette époque-là, ils ne disposent d’aucun livre racontant les mésaventures du Gang des Postiches. Ils s’appuient seulement sur des reportages, témoignages et la presse. Pour le réalisateur, « une fiction inspirée de la réalité est un cercle dont le centre se trouve toujours ailleurs ». Il avoue que plus la réalisation du film approchait, plus il commençait à se détacher du scénario du film, et tout cela, il le faisait exprès. Il voulait arriver sur le lieu de tournage et réaliser le film en totale liberté. Tout devait être réglé sur la scène, lors de la confrontation entre les acteurs, les décors.